Le tout premier concours Miss Science du Mali.
Contexte
La faible participation des filles et leurs faibles résultats d’apprentissage dans l’enseignement des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM) constituent une préoccupation majeure en Afrique de l’Ouest. En grandissant, les filles sont souvent éduquées dans la croyance que les STEM sont des matières « masculines » et que leurs capacités dans ce domaine sont intrinsèquement inférieures. Les systèmes éducatifs et les écoles jouent un rôle central dans la détermination de l’intérêt des filles pour les STEM et dans l’égalité des chances d’accès et de profit d’une éducation STEM de qualité.
Action
Dans le cadre d’un effort conjoint, le gouvernement du Mali et l’UNESCO ont lancé le tout premier concours Miss Science du pays visant à encourager les filles à poursuivre leurs études dans les matières STEM, à plaider en faveur de leur accès et célébrer les réalisations des jeunes filles dans les disciplines scientifiques. Ce projet s’inspire du concours Miss Science du Sénégal voisin. Avec la participation de l’ensemble des 20 académies d’enseignement du Mali, 80 des meilleures élèves du primaire et du secondaire ont été invitées à concourir. Leurs écoles les ont aidées à se préparer à ce concours national.
Impact
Les quatre lauréates – Rokiatou Moussa Bagayoko, 10 ans, Djénèba Coulibaly, 13 ans, Aïssata Doumbia, 14 ans et Mariam Diarra, 15 ans – vont devenir ambassadrices dans leurs écoles respectives pour encourager leurs camarades filles à s’engager dans les STEM.
Les 80 concurrentes ont reçu du gouvernement malien une tablette ou un ordinateur à l’occasion de la cérémonie de remise des prix à Bamako. Étant donné le succès de cet événement, un nouveau concours Miss Science est prévu pour septembre 2019.
Ce n’est là qu’un des nombreux exemples de l’action de l’UNESCO en faveur de l’autonomisation des femmes et des filles au Mali. L’UNESCO, ONU-Femmes et le Fonds des Nations Unies pour la Population ont, par exemple, un Programme conjoint sur l’éducation …
Contexte
La faible participation des filles et leurs faibles résultats d’apprentissage dans l’enseignement des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM) constituent une préoccupation majeure en Afrique de l’Ouest. En grandissant, les filles sont souvent éduquées dans la croyance que les STEM sont des matières « masculines » et que leurs capacités dans ce domaine sont intrinsèquement inférieures. Les systèmes éducatifs et les écoles jouent un rôle central dans la détermination de l’intérêt des filles pour les STEM et dans l’égalité des chances d’accès et de profit d’une éducation STEM de qualité.
Action
Dans le cadre d’un effort conjoint, le gouvernement du Mali et l’UNESCO ont lancé le tout premier concours Miss Science du pays visant à encourager les filles à poursuivre leurs études dans les matières STEM, à plaider en faveur de leur accès et célébrer les réalisations des jeunes filles dans les disciplines scientifiques. Ce projet s’inspire du concours Miss Science du Sénégal voisin.
Avec la participation de l’ensemble des 20 académies d’enseignement du Mali, 80 des meilleures élèves du primaire et du secondaire ont été invitées à concourir. Leurs écoles les ont aidées à se préparer à ce concours national.
Impact
Les quatre lauréates – Rokiatou Moussa Bagayoko, 10 ans, Djénèba Coulibaly, 13 ans, Aïssata Doumbia, 14 ans et Mariam Diarra, 15 ans – vont devenir ambassadrices dans leurs écoles respectives pour encourager leurs camarades filles à s’engager dans les STEM.
Les 80 concurrentes ont reçu du gouvernement malien une tablette ou un ordinateur à l’occasion de la cérémonie de remise des prix à Bamako. Étant donné le succès de cet événement, un nouveau concours Miss Science est prévu pour septembre 2019.
Ce n’est là qu’un des nombreux exemples de l’action de l’UNESCO en faveur de l’autonomisation des femmes et des filles au Mali. L’UNESCO, ONU-Femmes et le Fonds des Nations Unies pour la Population ont, par exemple, un Programme conjoint sur l’éducation, la santé et l’égalité des sexes, qui a bénéficié jusqu’à présent à plus de 2 500 élèves et 250 000 membres des communautés.
UNESCO